JOHN BLAKE ☇ I do believe in the light, raise your hands into the sky ❞
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 JOHN BLAKE ☇ I do believe in the light, raise your hands into the sky ❞

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A POLICEMAN one day i will get revange.
John Blake
John Blake
☇ à Gotham depuis le : 13/08/2012
☇ messages : 360
☇ réputation : 33
☇ pseudo : golden mind.
☇ avatar : joseph gordon-levitt
☇ copyright : © bazzart.
☇ photomathon : JOHN BLAKE ☇ I do believe in the light, raise your hands into the sky ❞ Tumblr_m815w6cXwT1rvw6aoo9_250
☇ occupation : officier à la GCPD et bénévole à l'orphelinat de la ville.
☇ adresse : N°11, Crime Alley, Appartement 7. Old Gotham.
☇ statut civil : célibataire.


MON FICHIER À LA GCPD.
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☇ forces: uc.
☇ faiblesses: uc.


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MessageSujet: JOHN BLAKE ☇ I do believe in the light, raise your hands into the sky ❞   JOHN BLAKE ☇ I do believe in the light, raise your hands into the sky ❞ EmptyJeu 30 Aoû - 17:21



Robin John Blake


Nom : Blake.
Prénom : Robin, John. Seulement, personne ou presque ne connait son premier prénom puisqu'il se fait exclusivement appeler par son deuxième prénom. Du jour qu'il a quitté l'orphelinat en tant que pensionnaire, son prénom usuel est devenu John, comme s'il voulait effacer son enfance et sa vie passée dans l'établissement. Ceux qui connaissaient son premier prénom sont soit mort, soit partis loin de Gotham...
Age : 31 ans.
Date de naissance : 17 février 1981
Lieu de naissance : Gotham City.
Nationalité : américain
Etat civil : célibataire
Groupe : les habitants de Gotham... même si rejoindre le rang des justiciers commence à effleurer son esprit au vu de la tournure que prennent les évènements. D'autant plus qu'il est sérieusement dégoûté par les policiers corrompus qui lui servent de collègues.
Avatar : Joseph Gordon-Levitt © endless love
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Que pensez-vous de la situation de la ville de Gotham ? Là ne fait aucun doute, Gotham vit des heures sombres. On est bien loin de la ville de mon enfance où – comme encore – la criminalité y était forte. Cependant, on ne luttait pas chacun pour son propre intérêt comme c’est le cas aujourd’hui. Non, quand j’étais enfant, tous les habitants de Gotham épaulés par la Gotham City Police Departement luttaient contre cette infâme minorité. À présent, je sens Gotham disloquée. Les criminels profitent des avis divisés autour du Chevalier Noir pour s’enrichir ou régler leurs comptes. La confiance est devenue une chose précieuse, dure à acquérir et qu’on offre quand c’est mérité. D’autant plus que les multinationales en sont les premiers visés, les plus en danger. La Police déborde de dossiers. Certains sont laissés sans suite tant des cas majeurs attirent davantage notre attention. La situation est grave car on sacrifie la sécurité des habitants au profit de la capture des justiciers et criminels. Par exemple, l'évasion du Joker d'Arkham montre clairement un déficit évident des mesures de sécurité de la ville. Si je cite cette affaire, c'est parce que je sais qu'elle effraie. De ce fait, les politiciens et personnes d'influence profitent clairement de la panique et la peur commune pour manipuler et pointer des doigts des coupables, des coupables qui, sans eux, Gotham City ne serait plus. Le commissariat est certain que l’ordre doit être rétabli en éliminant ces hommes – et sans doute ces femmes – masqués. Quant à moi, je ne crois pas que ce soit si simple, que la solution se résume à l’éradication de certains faiseurs de troubles.

Quelle est votre position concernant l'inculpation du Batman dans l'affaire Dent ? Je pense que les médias et les politiques qui souhaitent éliminer le Batman ont enfin trouvé une raison valable. J'entends par là qu'il leur fallait un évènement assez marquant et choquant pour trouver une excuse qui tienne la route pour faire tomber le Batman du côté des criminels. En réalité, je pense que la mort de Dent cache des indices qui nous permettraient de reconstituer ce qu'il s'est réellement passé. Donc, pour répondre à votre question, je ne pense que le Batman soit responsable de la mort de Dent. Ce n'est pas sa façon de faire, il n'élimine pas ceux qu'il considère comme des ennemis. L'homme chauve-souris réfléchit et agit ensuite, il garde suffisamment son sang-froid pour ne pas tuer. Que les médias s'amusent du Batman comme s'il était le criminel le plus dangereux de la ville permet surtout à faire oublier aux habitants de la ville les vrais dangers qui les menacent. Le lavage de cerveau collectif fonctionne toujours, même quand on se croit assez fort pour ne pas se faire avoir...

Quel est votre opinion concernant le nouveau procureur et ses idées ? Je pense qu'il va être difficile pour la maire et le procureur de cohabiter à la tête de la ville. Leurs visions sont totalement différentes. Alors que le maire lutte contre la corruption, le procureur ne parle à ses habitants que de leur réussite sociale et économique, sans penser à ceux qui, en arrière plan de la ville, galèrent à remplir leur frigidaire. Il devrait venir faire un tour à l'orphelinat, tiens. Gotham est loin d'être aussi rose qu'il ne le dit. Après, s'il le pense vraiment, c'est qu'il vient de poser ses bagages ici et qu'il ne prend pas encore conscience de l'état désastreux dans lequel la ville est plongée. S'il le sait, alors, il ne fait que mentir et user de démagogie. Je voudrais lui accorder ma confiance, cela voudrait dire qu'il accomplit de bonnes choses. Le temps le dira et je reviendrai alors peut-être sur ma position.
« l'habit ne fait pas le moine »

LE POLICIER

Comme tous les officiers de son grade, Blake se doit de porter un uniforme, celui de la GCPD qu'il affectionne plutôt bien. Depuis gamin il rêvait de le porter et ce n'est que depuis très récemment qu'il a arrêté de s'admirer dès lors qu'il enfilait le costume. Certainement parce qu'il s'est fait à l'idée et qu'à présent, il aimerait devenir inspecteur, poste qui nécessite plus d'uniforme.

LE CIVIL

Pourquoi excepter à la règle du jeans/t-shirt quand on sait que c'est tellement le plus simple et le plus pratique. John fait partie de ces jeunes trentenaires qui aiment être bien habillés tout en restant discret. Se fondre dans la masse tout en restant élégant et le crédo de notre policier. Ainsi, il portera toujours une paire de jeans avec des baskets - toujours la même paire, et quand elle est usée, on change. Il ne se permettrait pas de prendre le temps de choisir quelle paire de chaussures mettre avec tel ou tel jeans. Mais bon, il avoue avoir un petit faible pour les baskets à lacets qui font assez habillées. Ensuite, le t-shirt est souvent tendance, ou tout simple, uni d'une même couleur avec simplement un col en V qui met en valeur son torse légèrement musclé mais fin. Il aime bien aussi porter des chemises desquelles il retrousse les manches jusqu'aux coudes laissant apparents ses avant-bras fins qui révèlent un peu le corps proportionné et bien fait qu'il a. Mais jamais il ne joue de son physique qui plait généralement aux femmes. Encore faut-il qu'elles fassent attention à lui qui parait tellement banal au premier coup d’œil.

POUR LES GRANDES OCCASIONS

John aime bien s'habiller et n'hésite pas à sortir le costume trois pièces pour l'évènement. Chaussures cirées, pantalons à pince, chemise accordée souvent retroussée à mi-bras ou jusqu'aux coudes, et petit veston assorti, rien n'est laissé au hasard. Rasé de près et peigné simplement mais soigneusement, ses cheveux sur le front sont remontés avec de la cire à cheveux. Pas de gel pour ce maniaque né; ça laisse des traces blanches ensuite, surtout pour lui qui a une fâcheuse manie à passer ses deux mains dans ses cheveux lorsqu'il réfléchit, qu'il est agacé ou qu'il est gêné. Ah, et bien entendu, le détail de l'importance; pire qu'une femme pour le coup, sa penderie est pleine de costumes divers avec chacun sa cravate ou nœud papillon associé.
« Blake est... »

rigoureux ☇ ma rigueur est sans doute la qualité qui m’a permis de valider mes études avec brio, mais aussi beaucoup de travail. Je suis très pointilleux dans mon travail et j’accorde une importance à chaque détail. Mon perfectionnisme agace parfois mes collègues mais, à mon avis, c’est un point fort quand on souhaite atteindre les sommets de la carrière policière. perspicace ☇ dans une situation inconnue, j’arrive à concilier tous les éléments pour trouver une solution assez rapidement. Ma capacité d’analyse et de synthèse me permet d’intervenir sur les missions sans perdre mon sang-froid. Je m’adapte aux situations et je juge ce qui est le mieux pour le succès de ce qui m’a été donné de réaliser. exigent ☇ ce qui peut paraître être une qualité est en fait pour moi un poids. En effet, mon exigence n’est pas seulement envers moi-même mais aussi envers mon entourage. J’ai donc la fâcheuse tendance à ne jamais être content de moi ce qui me rend assez dur envers les autres. J’essaie d’être plus tolérant, de me contrôler, mais j’ai du mal à céder à mes principes pour me plier à ceux des autres. ordonné ☇ je n’aime pas le désordre et je range toujours chaque chose à sa place. Chez moi comme dans mon bureau à la G.C.P.D, chaque chose est à sa place, rangée et propre. Sur mon bureau, s’entassent des dossiers de types divers et bien qu’il paraisse complètement désorganisé, je dois avoir une faculté singulière qui me permet de toujours remettre la main sur ce que je cherche. Mais dès que mon emploi du temps me le permet, je classe mes dossiers par thèmes puis par ordre alphabétique… pour que, à peine quelques jours plus tard, ils s’entassent à nouveau au hasard sur mon bureau. attentionné☇ même si je ne le montre pas spécialement, je suis très attentif aux personnes qui me sont chères. Certainement dû à une déformation professionnelle, j’aime porter attention aux moindres détails afin de cerner les gens, leurs goûts, leurs manies. Cette qualité me permet une certaine aise envers la gente féminine, cependant, je préfère la douceur à la lourdeur et je déteste me vanter. D’ailleurs, je suis modeste ☇ je souhaite toujours faire mieux que ce que je ne fais déjà. C’est pourquoi je ne parle que très peu de moi mais réponds en toute sincérité aux questions lorsque l’on s’intéresse à moi. D’après moi, ma vie ressemble à celle de monsieur tout le monde et mieux je me fonds dans la masse, mieux c’est. La discrétion fait bon ménage avec ma personnalité. sociable ☇ je vais facilement vers les gens et je suis plutôt souriant et chaleureux. J’aime la compagnie des gens, je déteste la solitude et c’est limite si je ne préfère pas une compagnie désagréable plutôt que d’être seul. C’est un cas général car je suis célibataire depuis bien un an maintenant et cela ne me gêne pas outre mesure. En effet, je suis dévoué ☇ à mon travail et je passe le plus clair de mon temps à travailler pour Gordon. C'est certainement pour cela qu'aucunes de mes relations amoureuses n'a tenue, ou alors parce que je n'ai pas su être aussi dévoué à quelqu'un que je ne le suis à mon travail. Le commissaire Gordon dit de moi que je suis un excellent appui pour lui et je suis flatté par la grande confiance qu’il me porte, de là à me mettre dans la confidence de certains secrets majeurs qui se cachent à Gotham. Mais n’imaginez pas que je suis seulement un policier sérieux, maniaque et bien éduqué. Avec les personnes de qui je suis proche, je peux me révéler être un vrai boute-en-train ☇ ça fait parfois du bien de relâcher la pression quand on est très pointilleux dans son travail. Quand ça m’arrive – lorsque j’ai des jours de congés que je savoure pleinement, j’aime passer du bon temps avec des amis et le clown de service – ou le grand gamin, tout dépend du point de vue, ressort. J’aime plaisanter et ne pas me prendre au sérieux en allant par exemple dans un café de la ville pour passer un moment convivial autour d’un verre.
Il neigeait depuis trois jours et les jeunes époux n’attendaient plus qu’une chose : l’arrivée de leur premier enfant. Le calme de la ville provoquée par la météo donnait des airs d’apaisement à Gotham, airs bien rares et lointains dans la ville où les unes de journaux effrayaient souvent. Ce n’était pas monsieur Blake qui disait le contraire, jeune recrue à la G.C.P.D lui qui voyait passer des dossiers sous ses yeux qui lui glaçaient le sang. Quant à sa femme, madame Blake qui travaillait en tant que reporter au journal de la ville, les gros titres affichaient de plus en plus souvent des nouvelles sombres. Cependant, depuis un mois qu’elle était en congés maternité, elle ne voyait plus que la ville en rose. Seule l’arrivée de son petit garçon comptait et elle passait ses journées à parler à l’enfant qu’elle portait, à caresser doucement son ventre en attendant son mari qui n’avait qu’une envie : sentir l’enfant bouger et vivre déjà. Le moment de la naissance ne tarda pas à arriver et, alors que le soleil se levait et se reflétait sur le sol complètement blanc de la ville le matin du dix-sept février 1981, John Blake poussait son petit cri attestant que le bébé était en pleine forme. Sa vie de bambin fut fabuleuse. Un enfant éveillé grâce à l’attention de ses parents, un nourrisson malicieux, parfois capricieux voulant déjà montrer son petit caractère. Tout semblait être la définition du bonheur chez les Blake. Pourtant, tout dérapa un soir d’automne, alors que John était âgé de seulement sept ans.

John attendait derrière les barrières de la cour de l’école, commençant à faire la moue, le front appuyée au fer forgé. Il soupira mais il était trop jeune pour pouvoir s’inquiéter. Il fronça les sourcils en voyant sa tante Victoria arriver. « Nounou ? Mais… Il est où Papa ? » Il regardait sa nounou d’un air interrogateur, alors que celle-ci semblait préoccupée. « Papa a dû aller aider ta maman au journal, chéri. Tu vois, il ne t’a pas oublié, il m’a dit de venir car il savait qu’il ne serait pas à l’heure. » John fit oui de la tête en passant ses bras autour de sa gardienne pour chercher du réconfort. Du haut de ses sept ans, il comprenait que quelque chose n’allait vraiment pas. Il savait que son père ne louperait pour rien au monde la sortie de l’école du vendredi, le seul jour de la semaine où il remuait ciel et terre pour pouvoir faire le bonheur de son petit garçon. Quand ils arrivèrent dans la spacieuse maison des Blake, John vit un post-it poser sur la table. Habitué à recevoir des mots doux de sa mère de cette façon il sourit, le cœur plus léger en attrapant le papier. John était doué à l’école et ce fut sans aucun mal qu’il commença la lecture, inquiétante, voire effrayante. « Blake. Rendez-vous à la base du Journal où travaille ta femme. 15 minutes, pas une de plus. Ou tu peux dire bye bye à ta p’tite reporter de mer.. han ! » À la lecture du gros mot, John eut la réaction de tous les enfants pris en flagrant délit. Seulement, l’enfant était intelligent. Il venait de comprendre ce qu’il venait lire et dès l’instant où sa tante poussa un cri effrayé, il se mit à pleurer violemment, fortement paniqué. Au même instant, son père faisait une sortie de route mortelle, gêné sur la route par un chauffard qui maitrisait que trop parfaitement son véhicule pour que la mort de Blake ne soit pas méditée. Le soir même, Madame Blake rentrait chez elle et découvrait à son tour le post-it. Rien ne lui était arrivé au travail, la journée avait été des plus banales. Elle comprit alors qu’on avait monté un coup foireux contre son mari et qu’elle avait été la cible idéale. Madame Blake puisait sa force en son fils mais le couple fusionnel qu’elle formait avec son mari lui manquait, elle n’arrivait plus à rien construire. Après un court séjour en hôpital psychiatrique, elle finit par mourir d’amour, tout simplement. John partit vivre avec sa nounou quelques temps qui le chérit et prit soin de lui. L’enfant était fort mais il lui arrivait de passer des nuits à pleurer sans trouver le sommeil. Après tout, sa nounou n’était plus que sa seule famille et elle n’était même pas reconnue en tant que telle par les services sociaux qui se faisaient un plaisir de les menacer au moindre faux pas. Ensemble, quand John grandit, ils reconstituèrent un dossier des articles traitant de l’acte criminel dont avait été victimes ses parents. Leurs positions quant à la situation et le développement de la criminalité à Gotham avait déplu, pire que cela, on avait voulu les éliminer. Les propos de la reporter avaient agacé, les positions du policier avaient dérangé. Le couple Blake avait été une cible parfaite pour dissuader et terroriser Gotham de se lever contre les forces obscures de la force. Cependant, John ne put bénéficier longtemps du foyer de celle qui avait pris soin de lui d’abord, parce qu’aucun lien de sang ne les unissaient, ensuite, parce qu’elle n’avait pas les moyens de faire vivre l’enfant. Ainsi, John passa huit longues années à l’orphelinat qu’il put quitter dès l’instant qu’il put faire des petits jobs et passer les concours dans la police. Extrêmement discret sur la période, Robin, l'enfant des Blake devenu orphelin voulut oublier ce nom et il choisit qu'on l'appelle John, seulement John, comme s'appelait son père.

Depuis la perte de ses parents, John était certain d’une chose : il deviendrait policier à la G.C.P.D et rien ne pourrait le faire renoncer à ce projet. C’était une nécessité pour lui, sa façon de garder ses parents un petit peu vivants encore. Il était un élève brillant à l’école mais paraissait parfois ailleurs. Il lui arrivait de regarder les nuages à travers la fenêtre sans se préoccuper de ce qu’il passait dans la classe. Mais il était un bon élève, discret, mais quand il était passionné, il participait. Ce qui lui faisait attirer la sympathie des professeurs qui, lors de ses écarts, le ramenait gentiment à la réalité en l’apostrophant doucement. Il préférait parfois s’isoler dans un coin pour lire un bouquin plutôt que de rire et perdre son temps à des âneries d’adolescence. John se sentait mal à l’aise avec les jeunes de son âge pourtant, son air mystérieux avait le don malgré lui d’attirer les plus jolies jeunes filles. La seule chose qu’il appréciait comme un adolescent « normal » était qu’il admirait depuis toujours les Lakers, la célèbre équipe de Basketball de Los Angeles. Il se souvenait souvent de ce match merveilleux qu’il avait été voir avec son père, quelques mois avant sa disparition. Il continuait à défendre l’équipe et actuellement encore. Il obtient son baccalauréat à la fin de ses années d’études avec grande réussite mais pour lui, ce n’était qu’un laissé-passé pour le futur. Il intégra l’école de police et ressortit major de sa promotion. Cependant, il ne sentait toujours pas comblé, même une fois qu’il intégra à G.C.P.D bien qu’il en soit réellement heureux. Entre temps, il avait fait la connaissance de sa petite amie avec qui il filait le parfait amour depuis deux ans. Quand il eut vingt-deux ans et qu’il se plongeait dans son travail à corps perdu, sa petite amie lui reprocha qu’il sacrifiait sa vie amoureuse au profit de sa carrière professionnelle. John s’en attrista et rompit malgré ses sentiments pour la jeune femme. Il s’en mordit les doigts quelques mois mais la blessure finit par se fermer. John n’arrivait pas à concilier les choses, faire la part des choses. Ses parents lui manquaient parfois même si la nourrice de son enfance était un trésor qui ne voulait que lui donner le meilleur qu’elle pouvait.

John est aujourd’hui davantage épanoui. Nouvelle recrue du reconnu et apprécié James Gordon, le jeune policier tout juste trentenaire n’en est pas peu fier même s’il ne l’affiche pas spécialement. Le beau brun connait quelques relations amoureuses sans jamais vraiment s’engager. Il redoute une expérience comme celle vécu précédemment. Il se dit que quand la bonne personne arrivera, il saura juger s’il se sent prêt à vivre une vie de famille, celle qu’il a perdu, celle qu’il aura du mal à bâtir. Il est enjoué, heureux de vivre et ne laissera jamais les criminels gâcher son plaisir, sa joie de vivre. John aime sortir avec des amis, jouer au casino, assister à des matches de basketball, conquérir ces dames parfois aussi. Un célibataire plutôt charmant de trente ans en somme. Seulement, son passé l’a marqué et il continue le combat que ses parents menaient autour de Gotham, en faveur de la protection de la ville à l’encontre de ses parents. Le tueur de ses parents n’a toujours pas été retrouvé et il se demande s’il arrivera un jour à l’arrêter. Il connait son identité, Sawyer Blackhorth, mais tout semble montrer qu'il est mort, cependant, aucun acte officiel n'a été fourni pour le prouver. Désormais, il arrive à aller au-delà et pense principalement aux enfants de la ville en s'investissant à l'orphelinat de la ville. Comme eux, un jour il a été à leur place. Comme eux, il vivait une enfance paisible, heureuse. Comme eux, il était insouciant. Insouciance volée par un criminel assoiffé de pouvoir, un tueur à gage sans état d’âme qui laissa un enfant de sept ans orphelin, emportant avec ses parents ses rêves de petit garçon, pour le faire grandir, bien trop vite, et affronter les douleurs de la vie. Alors s'il pouvait apporter son regard de jeune optimiste sur la ville et sur les enfants de Gotham, c'est tout ce que souhaite leur Robin à venir...
Superstitieux, John possède toujours un dé rouge légèrement translucide dans la poche de ses jeans. Cette pièce est truquée, il est le seul à connaître son équilibrage et son poids. Il ne s’en sépare plus depuis le jour qu’il a gagné une somme faramineuse au casino et que, pour le taquiner, ses amis lui ont offert ce dé, lui disant qu’il n’avait pu que tricher pour gagner autant. Bien entendu, ce dé marque à la fois le souvenir d’une chance considérable et aussi le côté bon enfant et taquin de ses amis. ☇ Quand il réfléchit sur une affaire ou qu’il a besoin d’être concentré, il fait tourner ce dé entre ses doigts, comme si la réponse était contenue dans le petit cube. ☇ Extrêmement bien organisé, John note tous ses rendez-vous sur un agenda, mais aussi toutes les petites courses personnelles. De plus, il colle des pense-bêtes sur son bureau au travail ou son réfrigérateur chez lui afin d’être certain de ne rien oublier. ☇ Paradoxalement à cette manie, John est quelqu’un de très calme qui ne court pas après le temps. D’ailleurs, il n’a jamais réussi à garder une montre à son poignée. En effet, toutes les montres s’arrêtent systématiquement alors même que les piles soient neuves. Ce mystère l’a fait renoncer aux montres et préfère désormais son téléphone portable. ☇ John ne pourrait certainement pas se passer de cette technologie. Il trouve les sms très pratiques et en est littéralement accro. N’étant pas très loquace au téléphone, il trouve ses petits messages d’une praticité détonante. ☇la nature lui a donné une succession de grains de beauté discrets en ligne droite de son cou jusqu’à sa clavicule. Ce qu’il ne dit pas, c’est qu’il adore sentir les lèvres d’une femme suivre cette ligne imaginaire. Il en possède un autre un peu plus visible sur la pommette de sa joue droite, et encore un autre très discret que l’on devine sur le côté gauche de son nez.☇ John est devenu claustrophobe suite à une mission traumatisante où on le séquestra dans une cave lugubre et détériorée dans les sous-sol de Gotham. Ce sont de vraies crises d’angoisse à sueurs froides qu’il peut vivre dès qu’il se sent compressé dans un endroit clos. ☇ Il ronge ses ongles, encore plus quand il est nerveux. ☇ Il possède une cicatrice sur le dessous de son avant-bras droit. Celle-ci est le souvenir d’une vitre d’un taxi qui a explosé à deux pas de lui, son bras lui ayant servi de protection a reçu des fragments de verre ce qui lui coûta dix points de suture. ☇ Pour se détendre, le policier de Gotham aime flâner dans la ville. Citadin au possible, il ne supporte pas la campagne et son calme. Pour lui, rien de telle qu’une vie bien animée où son dynamisme et sa vitalité peuvent toujours être comblées au vue de la quantité d’activités qu’une ville peut proposer. ☇ Il fume occasionnellement lors de soirées entre amis mais rarement en semaine. Il n’en est pas dépendant et son paquet de cigarettes est souvent terminé par des collègues ou des amis plutôt que lui. ☇ John joue de la guitare sèche depuis l’âge de quatorze ans et est plutôt doué bien qu’autodidacte. La musique reste cependant qu’une passion et il lui arrive de pousser la chansonnette. Il chante plutôt juste mais certaines notes trop techniques ne passent pas du tout ce qui le fait rire, lui et son oreille musicale. ☇ Il écrit et compose mais n’a jamais voulu vivre de sa musique. ☇ Devenir policier à Gotham City a toujours été une évidence pour lui. ☇ John a conservé le dossier concernant l’enquête ainsi que les articles publiés au sujet de la mort de ses parents. ☇ Il est un fan inconditionnel de l’équipe de baskets les Lakers. ☇ A appris à se prendre en charge très jeune ce qui explique son indépendance et l’air solitaire qu’il donne parfois de lui sans le vouloir.

Prénom : Flora.
Age : 18 années de vie !
Disponibilité : 7 jours sur 7, sauf en période de partiels, vacances. Dans tous les cas, je posterai une absence/diminution d'activité ♥
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J'accepte l'envoi par mp de défis à relever dans mes rp des SPIRIT : OUI.
Des suggestions ? mes petites chauve-souriiiiiiiiiis je vous aime déjà, j'ai hâte de commencer cette folle aventure avec vous *o* ♥
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MessageSujet: Re: JOHN BLAKE ☇ I do believe in the light, raise your hands into the sky ❞   JOHN BLAKE ☇ I do believe in the light, raise your hands into the sky ❞ EmptySam 1 Sep - 14:23
fiche finie, je me déplace moi-même. (a)
Cependant, chers collègues du staff, si vous avez des remarques, des commentaires, ce que vous voulez, je suis preneuse Brillants
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