Kennie Wilson & Jim Gordon

Kennedy Wilson & James Gordon, se retrouvent en septembre 2012, alors que l'horloge affiche les sept heure trente en cette journée nuageuse et fraiche pour une rencontre autour d'un café. Les personnages se retrouvent au petit café Seven près du commissariat et ils autorisent les trois PNJs à intervenir dans ce rp. Les images utilisées ci-dessus proviennent de tumblr. Bonne lecture ♥

« Une rencontre plutôt fructueuse »

Il y a un mois, je venais d'arriver à Gotham et la première chose que je fis, fut d'aller à l'orphelinat afin de retrouver la trace de Cristal. Jeune, j'avais pris cette petite sous mon aile. Elle n'avait pas eu de chance dans la vie et je ne voulais pas qu'il lui arrive ce que j'avais vécue, soit sombré dans la drogue et faire une tentative de suicide. Je sais, j'étais tombée bien bas, mais un « ange » m'a sauvé la vie. Je n'ai jamais sût qui il était, mais j'aimerais bien le retrouver pour le remercier de ne pas m'avoir laissé dans cette entrepôt et mourir d'une overdose. Entre mes recherches pour retrouver Cristal, j'avais trouvé le temps de m'inscrire à des cours en criminologie. Je m'étais prise très tard, mais j'avais expliqué ce qui m'était arrivé et ils ont accepté. Cependant, je devais leur prouver que j'étais apte à recevoir une bourse d'étude en ayant de bonnes notes. Ce n'était pas très difficile pour moi parce que dès que j'assimilais quelque chose, il était impossible pour moi de l'oublier. Merci mémoire eidétique. Après, le plus dur, fut de me trouver un appartement. J'avais fait le tour de la ville pour m'en trouver un. Au départ, je logeais dans un motel miteux, parce que je n'avais rien trouvé mieux et je n'avais pas envie de payer un hôtel luxueux. Pour dire vrai, j'étais héritière en Russie, mais je n'avais jamais, enfin pas encore réclamé mon héritage, du moins pour l'instant. J'en avais l'intention, mais je ne me sentais pas encore prête pour reprendre le flambeau et puis je devais également me battre contre les hommes qui avaient trahi pour père pour lui voler ce qu'il avait de plus cher. Donc pour l'instant, l'important c'était de me trouver un appartement assez grand pour deux. Quelques jours plus tard, j'avais finalement trouvé quelques choses de potable. Ce n'était pas le grand luxe, mais c'était assez grand pour deux. Il y avait deux chambres et une salle de bain. Le reste était à air ouverte, mais bien séparé par des poutres. Et une chose de faite. Il restait plus qu'à retrouver Cristal. Ça c'était le plus dur de ma liste. Après ma connerie avec la drogue, la tentative de suicide, le centre de désintoxication, je m'étais enrôlée dans la marine et j'avais perdu tout le monde de vue. Robin, Selma et puis Cristal. Maintenant j'avais sept ans à rattraper et je ne savais pas du tout par où commencer. Enfin peut-être que si. Après les cours et le logement, je devais m'occuper de me trouver un emploi. Ayant fait trois ans dans la marine, je me suis dit que je pourrais être une recrue de la police de Gotham. Je sais que je n'avais pas vraiment fait d'étude dans le domaine, mais je pouvais tout de même essayer, La marine et la police, ça se ressemble, non ? J'allais le savoir bien assez tôt parce que je devais aller porter mon curriculum vitae aujourd'hui même. J'avais pris un rendez-vous avec le commissaire Gordon. Je m'étais renseignée sur lui et c'était le meilleur du département. Alors, pourquoi ne pas bosser pour lui ?
Mais avant de me présenter, je devais m'arranger un peu. Je venais à peine de me lever et j'avais une tête à faire peur. Une bonne douche ne me ferait pas de tort. Je repoussai les couvertures de mon lit en étirant chaque muscle de mon corps. J'avais fait un peu de sport la veille et je sentais les courbatures montrer le bout de leur nez. J’enfilai mes petits pantoufle en forme de lapin et fonça dans la douche. Je devais faire vite, si je ne voulais pas arriver en retard pour le métro. Je ne restais pas à côté du poste et traverser la ville en pleins heure de pointe, c'était l'enfer. Une fois ma douche prise, j’enfilai un jean, un simple chandail et une bonne veste puisqu'il faisait froid à l'extérieur. « Il faut vraiment que je fasse du shopping. Je manque de fringues.» je soupirai, pris les premières bottes que je vis puis les enfila. Je pris mes clefs, mon sac à mains et quitta finalement mon appartement. « Toujours en panne ? Non, mais il se moque de moi ?» Je serrai les poings puis pris les escaliers. J'avais demandé au gardien de l'immeuble de réparer l'ascenseur et ce n'était toujours pas fait. Rendu au rez-de-chaussée, je me figeai devant la porte du gardien et je me retenais pour ne pas frapper avec rage sur la porte en lui hurlant dessus. Après avoir une grande respiration, je quittai l'immeuble afin de prendre le métro qui me conduirait au sud de la ville.
Arrivée devant le café, je levai la tête au ciel enfin de le remercier. Bon d'accord, j'avoue que c'était un peu stupide, mais j'avais tellement besoin d'un café. Je dormais debout, pas encore réveillé à sept heures du matin, mais surtout parce que j'étais complètement gelée. J'ouvris la porte du café et la petite sonnette se fit alors attendre. Je souris en voyant qu'il n'y avait pas beaucoup de monde. Je m'avança vers la caisse et commanda ; « Je vais prendre un moka café avec un muffin au chocolat, s'il vous plait. » Je souris à la caissière et alla m’installer à une table. J’avais encore un peu de temps devant moi et je ne voulais pas arriver au commissariat avec mon café et mon muffin à la main. Donc j'avais pris le journal dans le présentoir à cet effet et je commençai à lire le journal. Seulement, je n'étais pas du tout concentrer. Je repassais sans cesse le discours que j'allais sortir au commissaire Gordon pour mon embauche. Je voulais vraiment faire partie de son équipe, mais j'avais peur quand même de ne pas être prise, parce que je n'avais pas fait l'école. J'avais à peine mon diplôme du lycée, je n'avais pas fait d'études supérieures, quoique, je venais juste de m'inscrire à l'université. Et puis il y avait Cristal... En peu de temps, je terminai mon café et mon muffin puis me leva lorsque je heurtai un homme ; « Oh pardon je ne vous avais pas vu... » Je n'avais pas encore regardé son visage que j'époussetais déjà son manteau.