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 Braquage haut en couleur.

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MessageSujet: Braquage haut en couleur.   Braquage haut en couleur. EmptyLun 3 Sep - 21:26
J. Gordon ; J. Blake et S. Westerfield
Jim Gordon, John Blake et Snow Westerfield, se retrouvent en septembre 2012, alors que l'horloge affiche 09 h 56 en cette journée ensoleillé, mais avec des nuages pour arrêter un braquage avec otages. Les personnages se retrouvent à la banque de Gotham et ils autorisent les trois PNJs à intervenir dans ce rp. Les images utilisées ci-dessus proviennent de google. Bonne lecture ♥

Assis sur mon fauteuil de commissaire de la ville, j'épluchais le courrier de la journée. À l'aide de mon coupe-papier les enveloppes n'avaient qu'à bien se tenir. J'avais reçu une lettre du Maire de Gotham. Je lisais attentivement cette dernière sans faire le moindre mouvement. Néanmoins, un léger rictus s'afficha sur mon visage. Monsieur Garcia souhaitait que j'aie davantage d'affinités avec le nouveau Procureur, ce dernier voyait bien qu'il y avait un léger malaise entre moi et l'homme de loi. J'étais gêné que le Maire m'envoie cela par lettre, il aurait très bien pu m'appeler ou bien demander à me rencontrer, mais sans doute que son emploi du temps est trop chargé. Une fois lue, je la jetais dans ma corbeille qui était déjà quasiment pleine et pourtant je l'ai vidé il y a peine deux jours. Je regardais les autres courriers papiers, ces dernières n'étaient pas très intéressantes, elles concernaient de la paperasse. Je venais de mettre un terme à cette besogne que je me colle tous les matins depuis une dizaine d'années maintenant.

Le téléphone se mit à retentir, je pris le combiné et je demandais qui était à l'appareil. À ma grande surprise se fut le Procureur Carter, j'essayais donc de prendre une voix amicale et chaleureuse. J'écoutais attentivement les paroles de mon interlocuteur, ce dernier me disait qu'il était grand temps que nous ayons une conversation qui aborderait plusieurs termes phares. « Écoutez Monsieur le Procureur, je suis libre au déjeuner, si vous voulez nous pouvons nous retrouver à ce moment-là ? » Dis-je en regardant mon agenda grand ouvert. « Très bien, je vous dis donc à tout à l'heure Monsieur le Procureur. » Une fois le rendez-vous prie, je reposais le téléphone à son emplacement.

Cette fois on frappa à ma porte. J'avais l'impression que cette journée on allait me solliciter de tous les côtés. « Entrez ! » Dis-je d'une voix grave. C'était l'officier John Blake qui avait frappé à ma porte, apparemment ce dernier avait quelque chose à me dire, cela se voyait sur son visage. « Que puis-je faire pour toi fiston ? » J’écoutais avec attention ce que me disait le jeune officier. Néanmoins, je ne pus garder mon attention plus longtemps sur ces dires puisqu’un code D-3 venait d’être lancé. « On continuera cette conversation à notre retour, le devoir nous appel. On prend ton véhicule. » Lui lançais-je en ouvrant les tiroirs de mon bureau. Une fois mon arme de service accroché à ma ceinture, je pris mon imperméable marron, celui qui me suit toujours. John Blake ne devait pas s'attendre à ce que je monte dans sa voiture de patrouille. Tout le monde se mobilisa dans le Commissariat, c'était une véritable ruche en ébullition. Aujourd'hui on allait avoir de l'action.

Une fois dans la voiture de mon jeune poulain nous nous mîmes à rouler en direction de la banque de Gotham. Je pris la radio qui se trouvait sur le tableau de bord du véhicule de police. « À toutes les patrouilles, un D-3 a été enregistré à la banque de Gotham, je veux qu'on sécurise les lieux autour de la banque. Les individus sont lourdement armés et ils ont également des otages, donc je veux que tout le monde porte son gilet pare-balle. Le SWAT viendra nous prêter main forte. » Lançais-je comme si j'avais fait cela toute ma vie, ce qui est le cas. C'est dans ce genre de situation que je me dis que je ne peux pas prendre ma retraite, pas encore. Nous roulions en direction de la banque, le gyrophare allumé, les voitures des civils nous laisser passer afin de ne pas nous retarder ou du moins afin qu'il n'y ait aucune collision entre les usagers et les forces de l'ordre. « C’est ton premier braquage ? » Lui demandais-je pour éviter qu’un mutisme s’installe entre nous deux.

Le trajet dura moins de cinq minutes, la banque ne se trouvait qu’à quelques pâtés de maison du commissariat. L'officier Blake était concentré sur sa route, un vrai as du volant, moi j'étais concentré sur mon plan pour venir à bout de ses malfaiteurs. Une fois arrivée sur les lieux, je sortis du véhicule comme une bombe. Je vérifiais que mes directives furent respectées, c'est-à-dire barrière de sécurité afin que les civils soient hors de portée des tireurs, que mes hommes aient bien leur gilet pare-balle, je n'ai pas envie de faire d'enterrement cette semaine. Le bâtiment était cerné par la police, l'unité du SWAT attendait dans leur fourgon blindé l'ordre de leur capitaine d'intervenir. Je me dirigeais vers l'un des hommes de la situation. « Dites-moi tout ce que vous savez sur ce braquage. » Lui demandais-je. « Un groupe d'hommes lourdement armés sont entrés dans la Banque à neuf heures trente-trois, d'après les vidéos du quartier ils seraient entre huit et douze personnes. Il y aurait environ une quarantaine d'otages, employés de la banque compris. Nous attendons vos ordres Jim. » Me dit-il.

Je fis un geste de la main pour dire à l'officier Blake de venir se joindre à moi. Ce garçon est promu à un brillant avenir, il serait donc bête de se priver de ses lumières.
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A POLICEMAN one day i will get revange.
John Blake
John Blake
☇ à Gotham depuis le : 13/08/2012
☇ messages : 360
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☇ pseudo : golden mind.
☇ avatar : joseph gordon-levitt
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☇ occupation : officier à la GCPD et bénévole à l'orphelinat de la ville.
☇ adresse : N°11, Crime Alley, Appartement 7. Old Gotham.
☇ statut civil : célibataire.


MON FICHIER À LA GCPD.
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MessageSujet: Re: Braquage haut en couleur.   Braquage haut en couleur. EmptyDim 9 Sep - 10:22
Je relevais mon visage face au miroir de ma salle de bain en laissant l'eau couler sur ma peau. Je soupirais. Ma discussion avec Barbara la veille m'avait fait prendre conscience qu'il était temps que je me reprenne en main, que je ne devais plus laisser les choses s'abattre sur moi. Et cela commençait par trouver une reconnaissance auprès de mon chef, qui n'était autre que l'oncle de mon amie. Je passais mes journées au quartier général de la GCPD. J'étais devenu un espèce de geek de la police, ma vie sociale s'en était réduite à néant. Comme le disait si bien Barbara, ce n'était pas de cette façon que des John Blake Junior verraient le jour. Il était vrai que j'avais passé la trentaine d'années, et l'idée de devenir père me réjouissait, quand j'y pensais. Seulement, au vue de ma situation de célibataire passionné par son travail, je ne prenais pas le temps de chercher la mère idéale. Alors, comme un lâche, plutôt que d'affronter la situation et d'y faire face, je m'enfonçais un peu plus corps perdu dans mon travail d'officier. Au moins, si ma vie privée était un chaos, ma vie professionnelle, quant à elle, semblait prendre un bon tournant. Je recevais souvent des compliments du commissaire Gordon alors aujourd'hui, c'était décidé: je demanderais ma promotion!

Je finis de me préparer en tentant d'avoir l'air le plus en forme possible. J'enfilais mon uniforme et, à ce moment là, je me sentis en confiance. J'avais belle allure, je pouvais aller affronter l'air sceptique de mon commissaire pour obtenir une promotion. Je me trouvais même ridicule en m'entraînant devant mon miroir. "Bonjour Commissaire! ... arf, non. Il va trouver ça trop.. solennel. Il faut que j'ai l'air naturel..." Je soupirais et pris la route du commissariat en continuant à dire des répliques, en changeant l'intonation et l'air. Je dois faire comme d'habitude quand je viens lui donner un renseignement, je dois paraître détendu, sûr de moi.... Finalement, j'arrivais au poste. Je garais ma voiture, saluais les collègues à l'accueil, pris un café que j'engloutis en montant vers le bureau de mon chef. J'arrivais devant sa porte et pris une grande inspiration. Je frappais un coup. Je reconnus la voix de Gordon qui m'invitait à entrer. J'entrais, un peu nerveux, mais à la mine que fit mon chef en me voyant, je compris que ma visite le mettait de bonne humeur. C'était bon signe, s'il apprécie ma présence, non?

Je me raclais la gorge avant de dire, naturellement: "Hey, chef!" Habitué des lieux, je m'assis face à lui. J'eus le malheur de poser mon regard sur une photo de Barbara qui se trouvait là et j'eus l'impression de l'entendre encore me dire que je devais me ressaisir, et vite. Sacrée Barbara... je n'avais pas sa joie de vivre en ce moment. Je plongeais à nouveau mon regard dans celui du commissaire et je commençais alors qu'il m'invitait à la faire d'un air amical: "Voilà, commissaire. Je vais être direct avec vous. Je passe énormément de temps ici, ma profession me passionne et j'aime me plonger dans des dossiers. Je vais un nombre incalculable d'heures supplémentaires et, bien que mon niveau d'études soit conséquent, je ne suis qu'officier..." Je fronçais les sourcils, quand il prit la parole, alors qu'un signal était lancé pour un braquage. Il se leva, je l'imitai alors qu'il me donnait déjà l'ordre de prendre ma voiture de patrouille pour se rendre à la banque où le braquage avait lieu.

Nous prîmes rapidement le chemin de la banque et un silence qui ne me dérangeait pas plus que cela commençait à s'installer, alors que les appels micros étaient devenus plus rares: les équipes se mettaient en place. Le commissaire se renseigna alors sur mon passé d'officier. "J'ai déjà eu affaire à des braqueurs amateurs dans des supérettes ou centres commerciaux plus importants. Une bijouterie, une fois. Mais j'imagine que là, si c'est dans une banque, on a affaire à des hommes plus avertis. On a pu déjà avoir des infos sur eux?" Pris d'adrénaline par cette nouvelle affaire, j'avais oublié mon stress passé. J'étais naturel, professionnel et concentré sur la route qui prenait déjà fin. Arrivés sur les lieux, je restais accoudé à ma voiture dehors, en attendant les directives de Gordon. J'observais les alentours, la ronde était déjà en place. Je réfléchissais en observant le SWAT, pensant aux otages à l'intérieur.

Je fronçais les sourcils et m'approchais de mon chef qui m'avait demandé de se joindre à lui. "Un problème chef?" Je regardais chacun de ses interlocuteurs avant de prendre à nouveau la parole, consciencieux de bien faire: "Nous devrions proposer un marché avec les braqueurs. Le principal soucis étant de libérer les innocents qui se trouvent à l'intérieur. Ils vont vouloir faire pression, c'est du chantage pour eux les otages. On doit être plus malins qu'eux, les convaincre de libérer les otages. Puis, nos voitures de patrouilles pourraient partir. L'équipe du SWAT se trouverait en place, au niveau de la sortie de secours, côté ruelles, et non pas ville. On fait pression sur l'un des gars, on l'oblige à signaler l'issue qui se trouve derrière. Ils ne se méfieront pas si l'information vient de l'un de leur copain. Ensuite, on a plus qu'à les cueillir à la sortie... après avoir fait un faux "vous libérez les otages, on vous laisse partir"... Je peux contacter la psychologue du poste. Elle sera sans doute plus à l'aise pour les manipuler..." À nouveau je regardais mes collègues d'un air sérieux, presque sévère, pour attendre leur réponse. Je portais mon attention sur Gordon. "Désolé chef, vous aviez un plan, peut-être? je ne devrais pas..." Un peu gêné, je baissais la tête, tout en levant les yeux vers mes interlocuteurs qui semblaient ne plus qu'attendre le signal d'accord de Gordon.
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Snow N. Westerfield
Snow N. Westerfield
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MessageSujet: Re: Braquage haut en couleur.   Braquage haut en couleur. EmptyDim 9 Sep - 15:26
Musique à donf dans la bagnole. Voiture qui file rapidement. Sirènes déchainées, pim pom. Tirs de fusil, mitrailles qui s'excitent. L'homme tourne au coin de la rue. Le policier sort de sa voiture, des tirs nourris accueillent son arrivée. Le camion du SWAT se gare avec rapidité et agilité. Une trentaine d'hommes en sortent, ils tirent sans arrêt. Le flic s’avance, recharge, il est armé d’un pistolet 9 mm. Son gilet par balle le ralentit.
Alors qu’il court pour se mettre à couvert, une balle le percute en pleine tête. Sa vision se brouille, le bruit des sirènes et des coups de feu sont brouillés, petit à petit, l’homme ne bouge plus, il est mort.

« Et merde, ça fait chier ! » L’homme, tranquillement installé derrière son bureau balance sa souris et frappe son clavier avec véhémence. Alors que l’écran affiche un magnifique « Game-Over », le flic se lève. Il n’en peut plus de ne jamais obtenir de meilleurs scores. Le simulateur à disposition des agents n’est rien d’autre, en réalité, qu’un bon jeu-vidéo à plusieurs milliards de dollars. Le gouvernement et la ville de Gotham n’avait rien trouvé de mieux pour creuser le budget bien serré de la police et des forces du maintien de l’Ordre.
Snow Westerfield ne comprenait pas vraiment pourquoi faire ça, à part pour se détendre, le simulateur actuel n’offrait aucun entrainement physique, comme si le crime se combattait à coup de clics, de « Z, Q .S,D ». Le crime ne se combattait pas encore par informatique, sauf lorsque ce dernier concernait le FBI. Le Bureau d’investigation fédérale n’avait jamais eu rien d’autre à faire que d’offrir à ses employés de somptueux ordinateurs et des formations en hacking ultra couteuses. Le département de Police de Gotham avaient eu peu de formation là-dessus, puisque de tout manière, le FBI s’était approprié le cyber-terrorisme, même sur internet, la suprématie de cette agence à la solde du gouvernement n’était plus discutable. Sur internet, il y avait apparemment des états. Depuis peu, le SWAT avait en son propre sein des ingénieurs informaticiens, ces derniers avaient pour unique métier de s’occuper de pirater les caméras de surveillance, de détourner des lumières, intervenir surement et rapidement. La sécurité tout en prenant des risques, c’était ça, le SWAT.

L’unité de Snow n’avait pas bonne réputation, bien au contraire, ils avaient plutôt la réputation d’être de sombres crétins, des gens rejetés par toutes les forces opérationnelles d’Amérique. Des types qui avaient terminé l’école de police avec la mention « dangereux ». C’était aussi d’anciens agents d’agences gouvernementales, virés pour avoir tenu tête à un responsable ou trop porte-flingue. Franc tireur dangereux et tout le reste avaient pu avoir une seconde chance grâce à ce type, Westerfield. Capitaine actuel du SWAT mais également agent de terrain, l’homme avait constitué sa propre unité, des gens avec qui il adorait travailler, pour leurs méthodes, pour les réflexions et l’efficacité dont ils faisaient très souvent preuve. Même si ils étaient comme les parias de la société, exclus de toutes les formes de fêtes, d’enterrements de vies de garçons ou de mariage entre agents, ils s’en fichaient bien.

Jouer de la gâchette était bien plus drôle que le reste, et au diable les bonnes manières. Après tout, même si roter n’était pas toléré devant un patron, Snow ne se gênait pas pour faire et dire ce qu’il voulait à qui voulait l’entendre. Il se considérait lui-même comme quelqu’un de libre. Il était quelqu’un qui ne se prenait la tête pour absolument rien au monde. Une mission avait dérapée à cause d’un agent ? Pas de soucis, les rapports étaient trafiqués et tous s’accordaient sur une version, tous étaient d’accord pour attribuer la faute au défunt. Personne n’avait besoin de parler, c’était un accord mutuel.
Perturbé par l’alerte qui retentissait dans le poste de police, Snow se prit à rêver. Alors qu’un agent accourut vers lui pour le prévenir, Snow s’esquiva en direction des vestiaires. Il en avait marre des lèches-bottes à deux balles qui ne foutaient rien d’autre que lécher des anus durant toute la sainte journée.

Après avoir pris soin de se vêtir correctement, d’avoir chargé son arme et avoir prévu quatre chargeurs supplémentaires, il se dirigea vers le garage. En route, il fit la rencontre de ses agents, les salua d’une « tape » de poing à poing amicaux. Ils montèrent dans un hummer. Snow au volant mit immédiatement les sirènes, en priant pour qu’aucun jeune chauffard ne vienne perturber leur course effrénée. Généralement, personne n’osait faire face au SWAT, tout le monde se poussait correctement, de peur de recevoir une belle tannée, peut-être. Ou juste parce qu’ils étaient normaux.

Il vérifia que le GPS soit en fonctionnement. Ils arrivèrent très rapidement, quelques minutes plus tard sur le lieu du larcin. Une banque avait été prise d’assaut par des salauds. Snow gara le véhicule avec hâte, rapidement, le moteur encore chaud, il se déploya. Il vérifia que son équipe était convenablement prête à affronter ce genre de situations en distribuant une barre en chocolat à chacun. Il fouilla dans la boite à gants, prit une petite fiole de Whisky et en avala le contenu. Fusil M4A1 à la main, et cigarette dans l’autre, il fit le tour de la voiture.
Il expulsa rapidement la fumée de sa gorge et jeta un regard autour de lui, Jim Gordon et un subalterne en uniforme semblaient en pleine discussion avec des pontes en costume. Un peu d’animation, messieurs ? Snow fit signe à son équipe de rester sur place, et le jeune chef du SWAT s’approcha du petit groupe dans un sourire presque pervers.

« Tiens, Jim Gordon et son petit toutou. Heureux de vous revoir, Jim. Et euh… Toutou de Gordon. »

Il fit un sourire aux deux yeux, écrasa sa cigarette de son pied gauche, et fixa les hommes en costume, après le plus hypocrite des sourires qu’il puisse décliner, l’agent Snow Newton Westerfield reprit la parole avec raillerie.
« Vous parliez de quoi, les jeunes ? » En regardant Gordon, il fit la moue. « Plus si jeune que ça, j’ai l’impression, hein. Faites gaffe à l’arthrite Gordon, ça risquerait de vous paralyser. »



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