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  | | [ECRITURE] Concours d'écriture | |
|  ☇ à Gotham depuis le : 13/08/2012 ☇ messages : 799 ☇ réputation : 403 ☇ pseudo : Yunyuntoka ☇ avatar : Emma Stone ☇ copyright : Yunyuntoka ☇ photomathon :  ☇ occupation : Libraire, étudiante en droit. ☇ statut civil : Célibataire
  
 | Sujet: [ECRITURE] Concours d'écriture Dim 21 Oct - 14:56 | | Concours littéraire !A vos crayons et à vos claviers camarades ! Le premier concours littéraire du forum a besoin de votre talent. En effet, le thème es : "Ma première rencontre avec Batman" Que ce soit en tant que justicier, civil, policier ou criminel, vraiment arrivé en RP ou fictif, nous attendons avec impatience vos écris. Vous pouvez écrire du point de vue que vous voulez : que ce soit votre personnage actuel ou un point de vue différent, tout est accepté ! Les textes seront ensuite soumis à un vote pour déterminer lequel gagnera. Le gagnant sera affiché dans la partie contexte du forum, histoire de peaufiner ce forum avec votre aide.Le texte peut aller jusqu'à environs 2500 mots. Postez vos propositions à la suite. [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] |
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 | Sujet: Re: [ECRITURE] Concours d'écriture Ven 26 Oct - 15:24 | | J'ai décidé d'y participer, sur le tard, j'avoue U_U (Snow n’était que sergent à cette époque (a)) - Spoiler:
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Ce matin, rien n’allait plus pour Amy. Elle avait passé le plus clair de son temps à boire un café trop brûlant, à pester contre les automobilistes qui n’avançaient pas, et pour la journaliste, c’était le pire gage d’une journée bien pourrie. Elle avait roulé à son maximum et sa vielle Ford arrivait dans son dernier retranchement, le moteur avait suffoqué et la voiture s’était arrêtée nette sur une autoroute surchargée. Elle n’avait pas geint, elle âme invincible et fière. Amy s’était arrêtée sur le côté avant qu’un de ces furieux ne se décide à la faucher, quoiqu’actuellement, la mort aurait été le cadet de ses soucis.
Sa patronne était une vraie garce et elle n’attendait qu’un motif potable pour la foutre dehors, elle en avait maintenant un. Oui, elle allait arriver avec quelques longues minutes de retard, et la bonne femme ne se gênerait pas pour lui faire remarquer qu’il était anormal de manquer ainsi aux tâches qu’un métier aussi pointu qu’assistante d’une rédactrice en chef se devait d’exécuter à la perfection : un café noir sans sucre et sans lait le matin, deux muffins au chocolat à dix heures, un plat chinois (du poulet sauté et surtout effilé et non tranché ) et cela continuait jusqu’aux heures sombres d’un début de soirée. Toutes les deux heures, il fallait rappeler à la dirigeante de se rendre au toilette, parce qu’elle oubliait. Si ce n’était pas comique… Le toutou n’allait pas être à l’heure pour son job, et elle allait se faire piquer, comme un pauvre clebs sur le bord d’une route.
Elle se hâta de rejoindre la borne de secours à quelques mètres de là. En allumant une cigarette, elle composa le seul numéro qui le pouvait d’une cabine de la sorte. La compagnie des autoroutes. Ces derniers firent un bla-bla à deux dollars pendant dix minutes, et alors que le vent froid que les camions apportaient venait de la tétaniser d’une bourrasque glaciale, on se décida à lui envoyer quelqu’un. C’est une dépanneuse qui arriva quelques minutes plus tard. Un type assez gras du ventre, une moustache et une coupe à la brosse. Si Amy avait été inculte, elle aurait jurée qu’il s’agissait de ce bon vieux Joseph Staline, mais en parfait produit de l’école, elle savait qu’il était mort… Elle se contenta donc d’en rire en silence, le sosie de Joseph Staline était maintenant dépanneur, et quoi, le sosie d’Hitler était une pute borne et abrutie ? Allons savoir…
La jeune assistante pouvait sentir l’odeur d’un Whisky de bas étage dans l’haleine qui se dégageait de l’immense bouche du dépanneur. Ce dernier ne semblait même pas remarquer qu’une femme de vingt-deux ans, les seins fermes et le visage agréable se tenait à ses côtés. Il se hâtait à la tâche en maugréant des choses pas pensables. Amy tenta d’en saisir le sens, et y arriva pour quelques mots « Font chier. Marre. Connard ». Elle s’éloigna sur le bas côté, en fixant chaque voiture qui passait, certains n’en avaient rien à foutre, mais d’autres ralentissaient l’allure pour se moquer ou juste pour faire les curieux, et avec le bouchon qui se dessinait au loin, Amy n’aurait plus de boulot d’ici la fin de la journée. Les tambours battaient la chamade dans l’autoradio de la dépanneuse, la porte grande ouverte, on distinguait des percussions et cette odeur d’alcool et de tabac. Comment ce mec faisait pour survivre ? En voilà un qui à cinquante ans sera échoué sur son canapé à se morfondre.
Amy et ses hauts talons (du Gucci s’il vous plait !) marchèrent pour se poser sur la barrière. Le type ne semblait pas vraiment passionné parce qu’il faisait, et lorsqu’il demanda à la jeune femme de monter dans son camion pour qu’il la conduise jusqu’au garage. Elle sentit à peine le malaise s’installer. Elle ? La femme si belle et si raffinée dans l’obligation de monter dans ce camion boueux ? Dans cette horreur ? Elle préférait encore se mettre à poil sur le net, au moins elle gagnait de l’argent.
Contre son grès mais avec son bon sens, elle monta dans le camion dont la marche était trop haute pour elle. Le conducteur se fit un plaisir de toucher ses fesses en la poussant sur le côté passager. Et dire qu’elle pensait que cet épisode serait le pire de la journée… Amy Farah Foller se mettait le doigt dans l’œil, ce qui allait se dérouler en cette journée, jamais elle ne pourrait l’oublier.
Quelques heures plus tard.
« Votre voiture est en panne ? Et moi, mon défunt mari, paix à son âme, est revenu pour me gratter la tête ce matin ! Vous êtes virée, vous avez dix minutes pour embarquer la saloperie qui vous sert de bureau. »
La femme était le sosie crachée de Meryl Streep. C’est exactement ce qu’était en train de se dire Amy. Elle se dit aussi qu’elle n’avait pas le succès de l’actrice ni la forme physique de cette dernière. A part sa tête, sa patronne était une conne sans talent qui prenait plus de temps pour déguster un hamburger que pour effectuer les dures tâches que lui encombrait sa misérable fonction.
La jeune Amy ne réagit même pas et entreprit le nettoyage de son minuscule bureau. Dans le très célèbre carton (merci Lehman Brothers ) du renvoyé, elle y mit quelques photos, un calendrier avec des chatons, son ordinateur portable et quelques crayons. Elle ne manqua pas de récupérer les numéros des plus proches collaborateurs de sa patronne. Peut-être qu’ils auraient quelque job pour elle, on ne savait jamais.
Après avoir fait le tour de ses collègues les plus chères, deux personnes en réalité, elle poussa les portes vitrées du bulding, carton à la main, elle fit le plus beau doigt d’honneur qu’on n’eut à voir dans l’Histoire. Un doigt tendu bien haut, à tous les Dieux, à tous les suppôts, et à cette femme, à cette entreprise, à cette société qui ne vivait que pour la mode et la connerie. Elle posa son carton sur les marches de la boite d’à côté, et vérifia son portefeuille. Soixante-dix dollars en liquide, de quoi se payer un taxi pour rentrer chez elle. Dans le coin, ce n’est pas les taxis qui manquaient, il suffisait de péter pour que l’une des célèbres voitures jaunes de Gotham arrive en hurlant, toutes lumières allumées. Elle ferma les yeux en attendant que l’un d’eux arrive, et pensa à ce qu’elle aurait pu devenir, une vétérinaire de talent, un amour mort pour un riche businessman, mais non. Elle avait quitté l’école à seize ans, trop soif d’aventures, de boulot et surtout d’argent. Elle avait décidé de faire ce qu’elle trouvait, d’abord serveuse, jusqu’à ce que le sosie de Simon Baker la présente au grand boss de Classical. Aujourd’hui, elle voulait le sosie de Hugh Laurie, desfois qu’il connaisse quelqu’un qui était dans le besoin urgent d’une assistante à tout faire, même des choses pas catholiques si c’était un homme… Elle était prête à tout pour pouvoir continuer à payer le loyer de son magnifique loft.
Et comme par magie, un taxi se pointa. Elle ne regarda même pas à l’intérieur et monta à toute vitesse. Le chauffeur était un indou pur et dur. Encore un qui allait parler de paix et de repos. Encore un qui devait fumer des joints en respirant de l’encens. Sans lui demander sa destination, il se mit à conduire d’une façon folle, comme si il était certain d’où elle se rendait. En voyant cela, son cœur se mit à battre, et plus encore lorsqu’ils arrivèrent dans les quartiers peu nets. Le type ne disait rien, absolument rien, mais Amy attrapa son portable et composa le numéro de la police. En refusant pour le moment de lancer l’appel. Une tonalité et c’était foutu… L’indien prit alors la parole d’une voix claire et sans appel.
« Vous allez appeler la police en disant qu’un groupe de trois hommes ont pris en otage vos petites fesses, et plus vite ». Elle n’en revint pas. Ce type voulait qu’elle appelle les flics, mais pourquoi faire ? Ils allaient débarquer et foutre la merde. Sauf s’ils voulaient tuer des flics avant de finir par mourir, ces gens étaient très cons.
« Vous allez dire que nous sommes armés et très dangereux, sinon je vous tue . Vous dites que nous sommes aux docks, au bâtiment cinq. ». Le type était complètement fou, mais pourtant sa voix était calme et sa respiration était des plus normales.
Sans trop réfléchir aux conséquences e son acte, elle pressa la touche « verte » de son Blackberry et se mit en condition, le chuchotement était de mise. Elle donna toutes les informations au 911 qui, après cinq minutes décidèrent d’envoyer deux voitures. Ils arrivaient en effet aux docks. Elle fut trainée hors de la voiture par deux malfrats aux vestes de cuir, rien d’indou en eux d’ailleurs. Ils poussèrent la lourde porte de l’entrepôt numéro « 5 » et elle fut ensuite assise sur une chaise, en plein milieu. Les lumières furent éteintes, et la lueur d’une bougie simplement servait de point de vue à la femme. Elle allait mourir. Elle pleurait en silence, comme si de rien était, mais le stress était énorme.
Le Sergent Westerfield avait passé la journée la plus belle de sa vie. La pluie qui s’abattait sur Gotham était d’une rare beauté et la grandeur des orages avait toujours eu quelque chose d’intéressant pour lui. De ses yeux marron aux pointes d’un vert émeraude, il pouvait apercevoir les gens qui, dans l’affolement le plus complet se courbaient pour résister aux bourrasques de vent. Dans sa voiture, avec Mike, son collègue et meilleur ami, ils étaient en train de se taper le meilleur des Big Mac au monde, un goût de sauce mélangé à celui de deux steaks épicés. C’était à ce moment exact que la radio avait craché. Une jeune femme avait été kidnappée par des hommes lourdement armés et apparemment, ça risquait de chier grave.
Mike qui était le conducteur de le plus adroit du Gotham Police Department (en réalité, il ne fumait pas, il conduisait donc) élança la voiture avec un très gros appui sur la pédale d’accélérateur. Les sirènes hurlantes, ils arrivèrent avant même que la cigarette de Snow ne soit terminée. Très rapidement, main droite sur le pistolet et main gauche sur la lampe torche, ils frappèrent aux portes de l’entrepôt. Un bruit sourd et extrême se fit entendre. BAM BAM BAM. Une mitrailleuse venait de perforer les portières encore ouvertes de la voiture.
Les deux amis se mirent à courir pour échapper aux rafales de balles qui transperçaient la voiture de part en part. La sirène émit un dernier bruit d’horreur avant d’exploser en centaines de morceaux, les gyrophares étaient ouverts, jonchant le sol. Et c’est après dix minutes à atteindre là, qu’il vint. Le plus beau et majestueux des idiots en culotte.
Le chevalier Noir, Batman, la chauvesouris… Il se dressait là, dans l’ombre. Il glissa rapidement sur le toit, et Snow eut pensé rêver, jusqu’au moment où il entendit l’un des malfrats prendre les jambes à son cou. Westerfield et Mike traversèrent rapidement la petite rue entre les deux entrepôts pour attendre que la voie soit libre. Alors qu’ils avançaient, un type se matérialisa devant eux, il venait de déboucher d’une ruelle attenante et avec son AK, il était plutôt flippant. L’échange de balles ne donna rien, et ils se mirent à couvert. Alors que Mike tenta de s’approcher, une balle le toucha en pleine tête, et le noir d’un mètre quatre-vingt s’écroula avec toute la force de son corps. Snow n’eut même pas le temps de réagir, un excès de colère le poussa à sortir de sa cachette et à tirer, tête baissée dans le tas de crotte qu’était le con qui venait de butter Mike. Il sentit son oreille siffler et une balle l’atteint à la jambe. Il s’écroula. Lorsqu’il pensa venir l’achèvement, il ferma les yeux. Se rendant compte que rien ne se produisait, il ouvrit de nouveau ses prunelles, à son côté se tenait une silouhette imposante et masquée, un homme d’une grande envergure. Un homme impressionnant qui se contenta de quelques mots avant de prendre la fuite.
« Restez ici, les secours vont arriver ». Alors qu’il commençait à tourner de l’œil, Amy Farah Foller vint à son côté. Ils venaient d’être les rescapés d’une terrible affaire, et le Batman venait de les sauver…
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 | Sujet: Re: [ECRITURE] Concours d'écriture Ven 26 Oct - 20:17 | | Mais de rien (a) Non, vous verrez, c'est merdique, comme d'hab :o (a) |
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 | Sujet: Re: [ECRITURE] Concours d'écriture Jeu 1 Nov - 11:08 | | J'ai aussi écrit un petit quelque chose ^^, c'est pas fameux mais bon, l'important c'est de participer XD - Spoiler:
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Eliott n'avait rien de quelqu'un de profondément méchant. Contrairement à ce que pourrait raconter sa mère sur tout les toits de la ville, il n'avait jamais eu un penchant très prononcé pour le mal en général. Comme tout le monde, il avait une musique préférée, il avait un film préféré, il aimait le chocolat chaud et les gâteaux et avait même une fois été amoureux. Mais les conjonctures qui avaient amenées Eliott dans ce triste immeuble en fin novembre n'avaient rien de très chaleureux. Pourtant, tout cela était d'une immense banalité. Plus jeune, un professeur avait pratiqué une sorcellerie moderne appréciée dans les écoles publiques « tu ne feras jamais rien de ta vie » en pensant d'abord exorciser ce sort, il se rendit vite compte qu'il ne faisait que le rendre plus tangible chaque jour : petits vols, d'abord, vols avec violence, ensuite, cambriolage, après, meurtre, enfin. Il aurait presque voulu que ce meurtre prenne des allures spectaculaires. Mais le fait était là : la mort était toujours incongrue et terriblement absurde. A peine avait-il poussé ce commerçant alors qu'il dévalisait sa boutique, que sa tête heurta le bord du comptoir. Avec une demi-seconde et un bord de comptoir, on peut tuer un homme. Ridicule.
Ensuite, son histoire avait été tracée dans un sillon que bien des hommes et femmes avaient empruntés, prison, gangs... Et une une fois sortie, on se rendait compte que la vie n'était qu'une immense prison. Les clôtures se substituaient aux barreaux, les flics aux gardiens et les gens normaux aux détenus. Tous portaient le signe de l'ennemi et Eliott était en guerre perpétuelle, comme un animal à l’affût. Et ce soir là, l'animal était de sortit avec ce qu'il pouvait le plus rapproché « d'amis ». Ils s'étaient calqués sur une prise d'otage qui se produisait à quelques pâtés de maisons de là. Le chef du groupe, malin comme un singe, avait anticipé un quelconque méfait qui attirerait l'attention de la police et des médias pour cambrioler une entreprise florissante dans un quartier relativement tranquille. Les yeux seraient rivés vers l'autre crime, ou vers la télé, laissant libre Eliott et ses petits copains de faire ce qu'ils avaient à faire.
« Attend je vais voir en haut. » Ca aurait presque pu être sa dernière phrase avant de mourir. Ca n'aurait pas fait un bon début d'oraison funèbre et encore moins une bonne citation sur sa tombe, quoi que, en le prenant de manière ironique, Eliott aurait pu être l'auteur d'une phrase bien cocasse dans un cimetière. A peine avait-il atteint l'étage du haut qu'il entendit des pas. Pourtant les sources avaient été très claires : personne la nuit. Il fut tenté de redescendre mais des ordinateurs flambants neufs trônaient fièrement sur des bureaux, derrière une porte vitrée. La tentation était trop forte, il brisa de son poing ganté la vitrine et pénétra dans les bureaux. S'armant d'un grand sac en toile, il enfourna un ordinateur dedans, sans trop se soucier de ne pas les casser : ce qui intéressait les receleurs, c'était ce qu'il y avait dedans finalement. A peine avait-il finit de mettre ce qu'il voulait dans le sac, il voulu faire marche arrière mais une main géante lui attrapa les épaules et l'envoya par la fenêtre. Voilà, la mort absurde était à sa porte à présent. Dans un dernier réflexe de survie, il tenta de s'accroche au bord de la fenêtre qu'il avait brisé avec l'impact de son corps, mais le verre se planta dans sa main et dans son gant, déchirant le précieux vêtement qui le retenait à la vie et le retenait du trottoir qui était environs vingt mètres en dessous de lui. Un « crac » parfaitement effroyable précéda la dislocation de son gant et bientôt, il sentit son corps entamer une chute. Étrangement il n'eut pas énormément peur, se disant que finalement, on avait la fin qu'on méritait : à existence débile, mort débile. Mais alors qu'Eliott se préparait déjà à rencontrer son créateur (qui avait fait un sacré raté concernant son existence), il crut un instant que son pied se prit dans quelque chose et que sa chute allait continuée, mais non. Il se retrouva là, pendu par le pied droit, au dessus du vide. Et en regardant vers le haut, il discerna une autre forme tomber vers lui. Le temps de hurler de panique et le second corps se retrouva aussi suspendu par les pieds, gesticulant à son tour. Ces mains... C'était le type qui l'avait jeté de la fenêtre... Encore plus haut, il arrivait à distinguer une forme noire aux oreilles pointues. Merde alors, il ressemblait à ça le faucheur ?
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|  | | NIGHTWING Ϟ Let me be the Light that brings the Dawn ☇ à Gotham depuis le : 01/09/2012 ☇ messages : 634 ☇ réputation : 468 ☇ pseudo : kellen ☇ avatar : matthew bomer ☇ copyright : Babs <3 - tumblr ☇ occupation : officier au GCPD ☇ adresse : 7, Drake Street, Appartement 9, Old Gotham, Uptown ☇ statut civil : célibataire
  
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 | Sujet: Re: [ECRITURE] Concours d'écriture Jeu 1 Nov - 14:34 | | On a pas encore fixé de date limite, faut en profiter ^^ [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Night gathers, and now my watch begins. It shall not end until my death. I am the sword in the darkness. I am the watcher on the walls. I am the fire that burns against the cold, the light that brings the dawn, the horn that wakes the sleepers, the shield that guards the realms of men. And for this night and all the nights to come... My Watch Begins |
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 | Sujet: Re: [ECRITURE] Concours d'écriture  | | |
|  | | | [ECRITURE] Concours d'écriture | |
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